16 juin 2022
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Il ne me reste vraiment rien,
Car aucun arbre ne m'attend
Pas d'amour au bout du chemin,
Jardin d'eden inexistant.
Je rêvais pourtant, autrefois
Dans une autre vie loin de là,
Toute seule dans le sous-bois
Qui m'emmenait à Marmara.
Les fleurs vers moi se penchaient,
Comme si elles voulaient me parler !
Ma peine elles l'a ressentait,
Je les entends très bien pousser.
J'aime la mère nature,
Elle seule ne m'a pas déçue.
Elle sera ma sépulture,
Elle me couvrira d'absolu.